L’Urologie s’engage pour la préservation d’organes

La qualité de vie des patients a toujours été une priorité pour l'équipe du service d'urologie et l'évaluation des conséquences urinaires et sexuelles des traitements fait partie intégrante de la culture du service.
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UROCet engagement à favoriser la préservation d'organe plutôt que l'ablation systématique se renforce avec de nouveaux investissements et la possibilité d'accès à des techniques chirurgicales ou interventionnelles innovantes dans la plupart des domaines de l'urologie. Sont ainsi concernés des pathologies tumorales (rein, vessie, prostate, surrénale), mais aussi l'hyperplasie bénigne de la prostate, les prolapsus génito-urinaires, l'incontinence ou la maladie lithiasique. 
Des alternatives aux prises en charge chirurgicales « classiques » sont ainsi proposées aussi souvent que possible, après évaluation par l'urologue, et en concertation avec d'autres services du CHU comme la radiologie interventionnelle, la médecine nucléaire, la radiothérapie, ou l'oncologie médicale.