Jérôme Latour, cuisinier au CHU a remporté le titre de champion de France de cuisine collective
Jérôme Latour, cuisinier sur le site de l’hôpital Haut-Lévêque a décidé de s’investir de façon volontaire dans le concours Gargantua et de représenter le CHU de Bordeaux.
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Les évolutions et recherches permanentes d’amélioration intervenues au sein de la
restauration dite collective ont amené les professionnels de la restauration à créer un
concours du meilleur cuisinier de restauration collective de France : le concours Gargantua.
C’est une belle réussite qui démontre s’il en était encore besoin que restauration collective rime aussi avec qualité. C’est toute la complexité du savoir-faire hospitalier qui a été récompensée à travers ce succès, et donc toutes les équipes de la restauration du CHU.
La direction générale du CHU tenait à féliciter l’heureux lauréat et l’ensemble de ses collègues pour leur travail quotidien valorisant ainsi la restauration collective.
restauration dite collective ont amené les professionnels de la restauration à créer un
concours du meilleur cuisinier de restauration collective de France : le concours Gargantua.

Jérôme Latour lors du concours Gargantua
Le 24 janvier 2017 lors du SIRHA (Salon International de l’Hôtellerie et de la Restauration) à Lyon, Jérôme Latour (cuisinier sur le site de l’hôpital Haut-Lévêque) a remporté le titre de champion de France de cuisine collective, après une épreuve pratique avec des thèmes imposés (carré de porc et gâteau succès) et devant un jury composé de professionnels exigeants comme par exemple le Président du concours du MOF (Meilleur Ouvrier de France).
C’est une belle réussite qui démontre s’il en était encore besoin que restauration collective rime aussi avec qualité. C’est toute la complexité du savoir-faire hospitalier qui a été récompensée à travers ce succès, et donc toutes les équipes de la restauration du CHU.
La direction générale du CHU tenait à féliciter l’heureux lauréat et l’ensemble de ses collègues pour leur travail quotidien valorisant ainsi la restauration collective.
Menu réalisé par Jérôme Latour
Le menu et le prix de Jérôme Latour
- Déclinaison de porc de montagne
- Mousseline de petit pois, pommes Anna
- Dessert : Succès devenu tube et fond d’assiette en tourne disque
À propos du service restauration du CHU de Bordeaux
Le service restauration du CHU produit l’ensemble des repas des patients et du
personnel sur deux unités centrales de production (groupes hospitaliers Pellegrin et
Sud) et un site relais (l’hôpital Saint-André).
Ces sites communément appelés « cuisines » s’apparentent plus précisément à des unités industrielles telles qu’on peut les concevoir dans l’industrie agro-alimentaire par exemple.
Ils représentent en effet l’équivalent d’une moyenne entreprise avec 280 personnes,
12 000 repas produits par jour, 6 points de distribution de self avec une obligation
de résultat quotidienne.
Un plan alimentaire est construit en amont par une commission de menus. Il prend
en compte les différentes contraintes nutritionnelles (régimes, textures, allergies et
autres), techniques, sanitaires et financières.
Aujourd’hui les habitudes alimentaires sont en constante évolution et la restauration hospitalière doit s’y adapter. C’est pourquoi les équipes travaillent sur la recherche d’une production optimisée et adaptée à nos patients en créant des plats cuisinés dits traditionnels « revisités ».
personnel sur deux unités centrales de production (groupes hospitaliers Pellegrin et
Sud) et un site relais (l’hôpital Saint-André).
Ces sites communément appelés « cuisines » s’apparentent plus précisément à des unités industrielles telles qu’on peut les concevoir dans l’industrie agro-alimentaire par exemple.
Ils représentent en effet l’équivalent d’une moyenne entreprise avec 280 personnes,
12 000 repas produits par jour, 6 points de distribution de self avec une obligation
de résultat quotidienne.
Un plan alimentaire est construit en amont par une commission de menus. Il prend
en compte les différentes contraintes nutritionnelles (régimes, textures, allergies et
autres), techniques, sanitaires et financières.
Aujourd’hui les habitudes alimentaires sont en constante évolution et la restauration hospitalière doit s’y adapter. C’est pourquoi les équipes travaillent sur la recherche d’une production optimisée et adaptée à nos patients en créant des plats cuisinés dits traditionnels « revisités ».
Information Avril 2017 - Source journal Passerelles n°84 d'avril 2017